Trash Stories 1
Traduction francaise par Roland Bergère
BAISER D´TRAM
Werner G. : vit´ vit´ goberge " ah y avait la" ni gauche ni droite le tram son blase carrè Rooooooaarschschlimmelinaglaglalemêtalcracklesosscrabouillî.
CAFE AU SEX
De la main droite aggripé au comptoir, Harry chope la fille par la taille de la gauche.
Elle adore l`air qu´a son bassin de dire "Baise!" Ce pourrait être un bon coup á tier - si seulement il nétait pas si bourré. Elle est blonde & en connait un rayon. Harry essaie de jouer le numéro tendresse. Pour un peu il laisserait lá sa bière.
Ca devrait marcher. Harry en est finallement persuadé.
HAINE TOTALE
X-ray rippe á travers les rues : pour hair tout le monde. Ce type-quelle tronche! A y vomir ... Sa meuf, l´habituelle conne bécasse montée sur échasse, s´´exhibant dans le quartier comme s´il y avait quoique ce soit en elle de bien -ou de vrai. A pas 10 m, 1 fille migonne comme tout vient á sa rencontre, le regarde, comme s´il lui plaisait- mais minute! marmonne X-Ray dédaigneux: si tu veux kekchose de mézigue faudrait y mettre un peu plus du tien, d´toute facon les jeunes moules c´est pas mon truc. Le gamin derrière elle, il pourrait l´envoyer se faire voir ailleurs, avec son genre " loubard"-quel cul.... Va donc chier! vocifère X-Ray. j´peux pas les blairer les mecs d´toute facon. Pour moi, c´est que de la merde les mecs, par principes. La dessus déboule une bande de pignoufs provinciaux, le pire du pire.Pas supportable. L´air innocent, X-Ray en bouscule 1, en passant, contre un mur & le type: tu t´crois où? Sur quoi X-Ray s´enfle devant lui pour ainsi dire, en 1 mélange de folie & de mauvaises énergies (avec nettes poussées á l´appui): DES QUESTIONS ENCOR´EN PLUS? Les paysans jouent les durs & s´esquivent.. C´que j´entendais signifier/y´aurait plutôt intérêt, considère X-Ray. Brille le soleil, sonnent les cloches, c´est samedi & tout n´est que merde, simplement, seulement.
STATION BA
IIls contrôllent la vague aux écluses. T´as un billet? Tu passes. Non? fais la queue & achète t´en 1. Mais bon tu en possède & peux de ce fait & après 1 foutu laps de temps t´ex-tirper á nouveau de ce compressage & les trains là , encore vides pour le moment, maisles hordes s´y ruent rapidos, prennent possession des caisses et c´est sous peu tellement bourré là d´dans qu´ on ne peut bouger d´un chouias. Juste á ce moment les portes se verrouillent & le train se met en branle pour un voyage sans fin. Tous respirent 1 bon coup: L´important c´est de rouler. / Après tout, ce qui compte, c´est de bouger.........Cependant, c´est une véritable étuve, á étouffer & les fenêtres n´ouvrent pas : ca paralyse presto toute activité & quasiment toute conservation. Ils sont assis lá,guiboles croisées, informes, :gros souvent, avec de petits yeux ternes, s´imaginet le jeu, s´´en foutent, va savoir, paraissent tranquilles, saturés, incapables de mouvement, comme apr ès aavoir bouffé, ou tiré un coup. Ca pue: la sueur & y´en a problablement 1 qu´a largué 1 caisse.. D´autres se réveillent & pestent, s´esclaffent, le train trembllotte, semble ne pas vraiment parvenir á traîner tout ce monde. Si seulement on pouvait ouvrir les fenêtres... c´ést insupportable, oui. Oui oui-ouais: le public sort réellement du musée des horreurs -têtes de porc, panses de porc: nulle part ailleurs tu vois un tel rassemblement de viandes aussi moches. C´est cela même: Le foot est démocratique, là pour tous. Ce pourquoi tu dois suer maintenant & comme le train est encore loin du centre-ville, rien ne peut t´aider sinon te renfermer & muet, attendre. Et de nouveau, comme á chaque retour, la question: pourquoi je me tape cela en somme? 1 biffeton de 20 pour s´envoyer ces monstrueuses configurations vivantes ? Eh mon con, le jeu, on le voit mieux á la TV. Comme toujours-pas de réponse. Mais les autres, quessequ´ils cherchent ici? La même chose que toi vraissemblablement...
WALTER SE MONTE 1 PIGNOLE
Walter se compresse dans ses chiottes étroites. N´allume pas & se grattouille la braguette puis, résolu, zippe sa fermeture éclair, baisse son grimpant jusqu´aux genoux & se dresse au-dessus de la cuvette . Il fronce des sourcils -la rumeur de la rue le dérange un tantinet- & se concentre.Lentement il commence á se masser l´arbalète, encore á moitié endormie. Mais Walter ne s´impatiente pas, ne se démonte pas, se travaille régulièrement, cherche, s´imagine quelque chose de convenable. Qui va passer á la casserole aujourd´huy? il peut toutes les avoir. La vieille pouffiasse rousse aux gros nibbards du fleuriste en face? La petite nouvelle de la disco? ou bien Louise, de la classe paralelle... Se décide pour elle: Louise s´effeuille pour lui, ca va 1 peu plus vite qu´en réalité mais popaul durcit hardi. Walter respire un peu plus rapidement cependant tandis que , refermée,sa dextre astique dare-dare & en rythme. Louise s ´agenouille & le soigne buccalement pour ainsi dire: sa langue titille le gland puis elle ré-introduit la queue jusqu´á moitié, la laisse aller-venir en glissant entre ses lèvres humides. Le torse de Walter se penche en avant, se redresse, contortionne en de singulières positions.Walter renifle des narines -comme un boeuf, gesticule, comme ayant 1 crampe, sa dextre lourde comme plomb & se bat avec sa hampe.Luoise écarte les cuisses, il s´introduit de justesse, ca commence á ve... merde... trop tôt, plus rien á faire, gicle blanche fontaine patch dans la cuvette. Walter se râcle le gosier, glaviotte & tire la châsse.Se lave. Grogne. Se reboutonne. Quitte les toilettes.
CE POURQUOI TU ES 1 MERDE
Tu lis ceci & pense que ce n´est pas toi dont il est question.
SEXE NUL
Ahem, allume.Où? ici? Ouais ouais....Ila se connaissent de vue déjà, mais aujourd`huy se sont rapprochès l`un de l`autre,c.a.d qu´après le vernissage ils sont allés en boîte avec les autres & finalement, retrouvés seuls. Sais tu que ce que nous voulions toujours faire, c´était tout simplement baiser? Là, Susy hocha du chef & dit:oui. & ils sont venus ici. Bully bute contre la table parce qu´il a 1 bon coup dans l´aile. La lampe de la cuisine exécute d´étranges ellipses dans le silence.Veux tu boire quelque chose? Demande Susy, par devoir, mais Bully refuse-Vraiment pas nécessaire maintenant..Début des préambules, escarmouches usitaires, petites scènes de déshabillage.Le tout s´acitve á vue d´oeil. Bully déchire le chemisier de Susy & lui tripote les seins.Elle tire sur sa ceinture & réussit enfin á la défaire.Bully commence á sucer les tétons (premiers soupirs), sent dans sa bouche, des cheveux, qu´il doit recracher sans cesse. Ca l´étonne petit á petit, jusqu´´à ce qu´il remarque qu´elle a des poils aux mamelons.Il n´y pense plus.Pourtant, d´une certaine facon, niveau engouement, y a des résistances. Entre temps, étant parvenue á lui ouvirir le pantalon, elle lui traiyonne la queue laquelle ne réagit pas des masses."hum, foutu coup dans le ponpon" maugrée Bully & elle: hanhan. Contrainte par la force majeure, elle la prend dans sa bouche & en obtient 1 demie levée. Bully croit que c´est bon maintenant, la renverse sur la table & effectivement, parvient á s´introduire 1 peu n´importe comment.Il remue, incertain d´abord, en terre étrangère, puis, plus sûr de lui quand même, accélère l´allure.Les 2 commencent á soupirer un peu. Bully se cogne contre la lampe,ca fait "klong" & la lampe balance en avant /arrière/ombre/lumière au-dessus de Suzy á moitié nue qui, se calant du ventre, combat pour son orgasme. Ses seins flasques pendouillent á droite & gauche & tremblouillent au gré des assauts. Bully sent son érection fléchir, ferme les yeux, se concentre. Cela dure 1 temps ainsi, il a l´impression de s´affairer devant 1 machine -ce qui est d´ailleurs le cas. Finalement, rien ne va plus -vraiement plus. Il abandonne & reste couché sur Susy.Elle rêvassomnole sans bouger 1 moment jusqu´á ce que l´initiative la prenne & marmonne: viens, allons nous coucher. Bully baille "oui", ne pense qu´á ca de toute facon: á dormir, pas á se réveiller.
zurück zur Übersicht